Conférence de Rome
Un déplacement professionnel m'a conduit à Rome pour y suivre un meeting où le défi du numérique en entreprise a été au centre de nombreux débats. Le moins qu'on puisse dire, c'est que cette question est désormais devenu capital. La révolution du numérique est en effet devenu la hantise des entreprises qui se veulent compétitives, et ce face à l’évolution des marchés et des technologies. Pourtant, bon nombre d'entreprises peinent encore selon moi à prendre ce tournant convenablement. Parce que le challenge ne se résume pas à la réorganisation d'un site web et l'utilisation des réseaux sociaux pour élaborer des liens différents avec la cible. La transformation digitale amène à investir le numérique dans l'ADN même de l’entreprise, son organisation et ses rapports avec ses clients externes ou internes. Il s’agit de mettre toute sa volonté pour remporter de nouveaux segments et contenter au mieux les aspirations d’une société toujours connectée et dont les habitudes évoluent fortement. Cela appelle un renouvellement total tant en terme de pratiques et des modes de fonctionnement en entreprise, chose qui est très irréalisable sans une vraie motivation des employés. Il faut repenser l’impact des médias sociaux, du cloud et de nombreuses autres innovations pour développer les business développement et de la marque. Lors d'une conférence, une personne a indiqué que l’entreprise numérique comme socialement connectéeet collaborative. La métamorphose numérique impose une organisation en interne et une relation avec sa clientèle, ses fournisseurs et ses salariés. Et pour réussir cela, il faut effectuer une veille permanente mais ne pas céder aux caprices de la technologie, bien se connaître, et se mettre des objectifs pertinents. L’innovation est véritablement essentielle pour dépasser la concurrence. Et ce que je retiendrai de ce meeting à Rome, c'est qu'il est aujourd'hui indispensable de stimuler une culture de l'innovation en entreprise en soutenant la prise de décision. Les décisionnaires doivent engager l’ensemble de leurs collaborateurs à innover et savoir faire preuve d'initiative. Et parce que l’innovation est souvent source de peur et une rejet au changement qui doivent être gérées, la partie RH a un travail considérable : elle doit développer des réflexions afin d’impliquer chacun dans ce processus novateur. Plus d'information est disponible sur le site de l'organisateur de ce séminaire à Rome. Suivez le lien.